[Désolé, je suis suis à côté de la plaque en ce moment U_U']

Loo' avait l'air mal en point. Un instant, elle ferma les yeux. Quand elle les rouvrit, ils étaient noir. Un noir d'encre, comme lorsqu'elle était devenu bizarre, dans la forêt (voir "Seule ... Ou pas").

-Eh, tes yeux, Loo' !

Elle ne se retourna pas vers moi, mais attrapa un contaminé et lui mit le feu. Je n'eus pas le temps de voir comment. Soudain, j'eus un énorme coup de fatigue. Comme si c'était le moment ! Je luttais quelques instant, essayant vainement de résister. Puis, ce fus le noir.
Apparemment, j'ai dus juste m'évanouir quelques secondes, car je me réveillais sur les épaules de Mathieu. Ma seule réaction, irrationnelle, fut de me débattre comme je le pouvais. Cependant, j'étais bien trop faible pour arriver à descendre, même ne serrais-ce qu'a perturber Mathieu, qui continua sa route comme si de rien n'était. Jje pris conscience que Loo' était aussi à côté de moi. Elle se réveilla quelques minutes plus tard, mais je ne lui prêtais pas grande attention, trop occupée à essayer de m'échapper. apparemment, Loo' était encore plus crevée que moi, et elle s'endormit. Arrivé en "sécurité", si on pouvait appeler sa comme ça, Mathieu nous déposa par terre. je ne dis rien, et m'éloignait de quelques pas. Je m'écroulais dans un coin. Me contentant de fixer notre "sauveur". Je me demandais si il me reconnaissait. Notre rencontre datait ... Un bruit se fit entendre. apparemment, c'était Loo' qui grognait. Elle avait l'air mal en point. Elle nous regarda à tour de rôle, puis dit :

- C'est rien! J'ai juste un peu mal à la cheville, c'est tout.

"C'est rien" ... En tout cas, ça avait l'air plus que "rien". Elle essaya de se lever, y parvient temps bien que mal. Elle fit une petite vérification de l'étendu des dégâts. Elle avait mal à la cheville, et une grande plaie lui ornait le dos. Sans parler de l'état de ses habits. elle toussota pour se donner contenance et prit la parole :

-Au fait, c'est quoi ton nom?

Ah, ils n'avaient pas eu l'occasion de faire connaissance. Temps mieux pour Loo', j'espérais que Mathieu n'avait pas trop usé de son mauvais caractère ... Il pouvait être vraiment chiant, si il s'y mettait. J'avais eu l'occasion de le remarquer. Enfin, heureusement, il avait l'air d'avoir un bon fond, vu qu'il ne s'était pas tiré en courant en nous laissant seules. Je lui en était grandement reconnaissante, parce mourir dévorée, très peu pour moi. Enfin, toujours est-il que Loo' attendait une réponse. Mathieu prit tout son temps avant de répondre.

- Je m'appel Mathieu...

L’une des deux jeunes filles se releva et alla s’asseoir un peu plus loin de là où je me tenais. J’aurais peut être pas dû courir autant… Ma cheville est en compote désormais, et la morsure à mon coude à presque tendance à me lancer…Je fais pression sur les traces de dents d’où tente de s’échapper mon sang… Encore heureux qu’ils ne m’aient pas mordus plus bas. La première fille tente avec grand mal de se redresser. Elle est couverte de sang, le sien et celui des contaminés. J’espère qu’elle a pris quelque précautions, si le sang contaminé entre en contact avec le sien, je ne donne pas chère de sa vie. Elle ne remarque pas tout de suite la taillade béante qu’elle a dans le dos. Si elle ne s’éponge pas c’est à coup sûr l’infection. Tsst… Heureusement pour elle, je porte deux T-shirt, et même si ils sont tout deux déchirés, l’un ne porte pas de sang contaminé. Je le retire donc et le lui lance. Elle a dit un truc juste avant, je n’y ai pas prêté attention en faites. Même pas envie de l’entendre. Elle a dû sentir le T-shirt la heurter car elle me fixe, et, m’attendant à un vague remerciement, je l’écoute :

- C’est quoi ton nom?

*He bien, hé bien! Sont-ce là des manières?*… Tsst même pas fichu de me remercier celle là. Se retenir est difficile mais ma conscience me dit qu’elle ne pense pas à mal, et que de toute façon elle est déjà presque morte… Ainsi que ma mère me l’a toujours répéter : «　Mathieu, quand tu ôteras la vie, respecte toujours les dernières volontés d’un mort… Fais cela pour moi…　» Tsst vieille peau…

- Je m’appel Mathieu…

*Mais balance lui une insulte qu’est-ce t’attends???* Pas la peine dois-je me répéter… elle est déjà finie, pas la peine d’en rajouter. Est-ce qu’elle a juste Compris que si elle ne ce dépêche pas elle va s’infecter…? J’ai pas vraiment l’impression… Tant pis.

- Nettoies toi, tu vas t’infecter…

Si ce n’est déjà fait…

(Non,non, sa va! n_n' )

Le gars me lança son t-shirt en plein dans le visage. Je n'en pris à peine compte. Enfaite, si, mais je fis comme si de rien. Je ne le remerciai même pas, se qui sembla le frustré un peu, mais j'étais trop concentré sur la réponse qu'il allait me donner.

- Je m'appel Mathieu...

Mathieu...Ah ouais..Mathieu! Sa m'as surprise qu'il réponde. En fait, j'avais posée la question, mais je ne m'attendais pas réellement à une réponse. Surtout après ce temps qu'il avait mit pour répondre. Ai semblait le connaître. Elle ne semblait absolument pas l'apprécier non plus, d'ailleurs. Puis, après quelques minutes, Mathieu me lança:

- Nettoies toi, tu vas t’infecter…

AH OUI! Quelle idiote je fais! Ma blessure au dos, elle risque de s'infecter si je ne la nettoie pas maintenant! Je pris le chandail qu'il m'avait lancé, et je me nettoyai profondément, puis j'enfilai le chandail. *Un peu ample, mais c'est bien mieux que d'être contaminé par le sang des contaminés.*

- Humm..Merci, Mathieu!..

Personnellement, je ne savais absolument pas quoi dire. Tout le monde semblait épuisé et se reposer un peu n'aurait fait de mal à personne. Mais rester ici serait plus que risquer, surtout après se qui c'était passé. Puisque moi je ne connaissais pas trop l'île flottante, je demandai:

- Est-ce que tu sais si on est près de l'île flottante? Je crois que dormir nous ferait le plus grand bien...


(Vraiment trop court et nul, désolée =^='
..Ah oui! Aussi, la semaine, j'peux juste aller sur l'ordi une fois par jour et pas longtemps donc, je pourrais réponde seulement une fois par jour ­x/ )

Bah dit donc, j'aurais pensé qu'il soit plus énervé que ça ... C'est vrai quoi, moi, les dernières fois, il m'avait à peine adressé la parole, comme si je le dégoutais.

- Nettoies toi, tu vas t’infecter…

Hum, sages paroles ... Au vu de son dos complètement ravagé, si elle ne se dépêchait pas, elle aller être infectée. Loo' prit le tee-shirt que Mathieu lui avait lancé, et après l'avoir nettoyé, le mit.

- Humm..Merci, Mathieu!..

Elle semblait désespérément chercher quelque chose à dire. c'était un peu inutile, parce qu'apparemment, il n'y avait pas grand chose à dire.

- Est-ce que tu sais si on est près de l'île flottante? Je crois que dormir nous ferait le plus grand bien...

Moi, je n'avais pas la réponse, parce que je n'avais plus aucune notions de l'espace et du temps. Effectivement, j'étais fatiguée, mais la question ne s'adressait pas à moi. Elle était clairement posée à Mathieu. De toute façon, il était clair que si j'avais répondu, mes paroles n'aurait pas d'incidents sur l'avis de Mathieu. Il n'y avait plus qu'a attendre qu'il se décide à répondre. Fermant les yeux, je me mis à fredonner un très vieil air. celui que ma mère me chantait quand j'étais toute petite ... Cela faisait très longtemps que je n'avais plus pensé à ma petites enfance. Surement parce que ce n'était pas très joyeux. Sanglant, en fait. J'entendis Mathieu me dire de la fermer, mais pas envie de l'écouter. Zut quoi, j'avais le droit de chanter, non ? Lui il parlait bien aux contaminés qu'il trucidait ... Bon OK, ça avait aucun rapport et sa me regardais pas. Mais merde quoi ! Et pis sa y est, j'en avais marre, ras le bol de ces conneries, de la peur, de la fatigue, de la mort ! Ras le bol de devoir tuer des gens qui avaient rien demandé, et qui étaient contaminés par une malchance infinie. Marre de repenser à tous les gens que j'avais tué avant qu'ils atteignent le stade de la folie, juste après une morsure. Marre de me souvenir de la lueur de haine qui brillait dans leurs yeux lorsqu'ils se savaient condamnés ! Condamnés par moi ! Soudain, la rage au ventre, j'entamais une crise d'hystérie. Mes fameuses crises ... Je me levais, puis partis en courant. Je courais comme une folle sans m'arrêter pendant quelques centaines de mètres, sans me préoccuper des deux personnes que j'avais laisser sur place. Pas la place pour autre chose que de la fureur trop longtemps contenue. Une pensée lucide traversa temps bien que mal mon cerveau submergé par trop d'émotions : *Ne hurle pas, il y a des contaminés par ici. Ne défonce pas tout, tu te ferais repérer.* Alors, je donnais une succession de coup de point dans le sol, puis, reprenant mon souffle, ne pus m'empêcher de fracasser un arbre.

[Désolé pour l'affreuse nullité du post, j'avais franchement pas d'idées. 'Pis en plus c'est trop court. Encore désolée.]

Le vent se lève, les nuages se dissipent et l’univers sombre présent il y a quelques instants s’accentue d’avantage quand le ciel montre son manteau noir. La fraicheur s’empare de moi et me glace le sang, Sang qui n’est d’ailleurs pas le mien… Je schlingue comme ça… Je vais me faire repérer si je reste ici… La première fille me demanda si je savais si l’on se trouvait près de l’île flottante… Mais aucune envie de lui répondre. Je pouvais m’y trouvait en un quart d’heure en passant à travers le métro et ses multiples passages souterrains. Le fait est que nous étions actuellement trois n’arrangeais hélas pas les choses. De plus, elles ne savent pas se battre, ce ne sont que des femmelettes qui se sont engagé dans une guerre qui n’est pas la leur, dont-elles ignorent tout. Elles doivent chercher vengeance, c‘Est-ce qu‘ils cherchent tous... Tsst une belle connerie… En cette période, chaque connerie est prise en compte et accumulé à toute celle déjà commises, et d’un coup, d’un seul, tout peut ressurgir. Un seul coup… Quoi encore? Pourquoi se met-elle à chanter? Une action d’aucune utilité, qui me plonge ainsi dans une m*rd* des plus tenace. Elle veut ameuter tout les contaminés du périmètre? J’entends déjà les bruissements des hautes herbes. Ils ne sont pas discret non plus. Alors que faire? Faire dans le discret n’est plus utile maintenant, ils ne tarderont plus, chaque seconde le périmètre se resserrent, peut être trente seconde, peut être moins…

- Ferme la!

Comment ameuter nombre, toujours plus grand, de contaminés… Elle ne semble pas se rendre compte que la situation ne permet aucun égard. Cinquante contaminés sont à notre recherche, et pas pour nous offrir des fleurs… Elle se lève et se met à courir… Bon débarras! Je serais mieux sans elle. Me remettant de bout à mon tour, je pars dans les catacombes. Ces journées crevantes… Plus vite serais-je arrivé, plus vite je pourrais manger, Mohaha!!!