Le coulis de l’eau ronronne tendrement. Les feuilles de l’arbre oscillent tendrement au contact avec son seul marionnettiste, le vent.les membres arrachés à leurs propriétaires ne semble pas être de la fête aujourd’hui. Bah… qui se souci de moi de toute façon?… Ce n’est pas comme si c’était un jour important… Manon m’a appelée tout à l’heure, elle voulait savoir si il était possible qu’on se fasse une bouffe un de ses soirs. Je lui ai dit qu’on pourrait se faire cela demain… elle s’est trouvé un copain, et à encore augmenté de grade. Elle a, du coup, obtenue un appartement plus grand pour elle et lui. Tant mieux pour eux…
Et voilà, que je me retrouve seul, à fêter un anniversaire sans joie ni sourire, sans applaudissement, sans discours, sans gâteau… Même Menshi, ce brave toutou d’habitude si enjoué, et parti à l’aventure de puis déjà deux jours. Mais nan, je ne m’inquiète pas, il sait se défendre. Enfin… j’aurais apprécié qu’il ait une petite pensée pour moi en ce jour…
La branche à légèrement pliée quand je me suis allongé dessus. Cet arbre gris est desséché. Espérons qu’il ne se brise pas sous mon poids… enfin, je ne vais pas me plaindre, ses feuilles me protège du soleil de plomb. L’eau est froide, moi qui comptait piquer une tête, c’est râpé, mais à qui la faute? On est en plein mois de décembre, et même si les températures soit très clémente, l’eau, elle, avec son flux et reflux interminable, ne se réchauffe jamais. Pff et malgré tout, il faut que je me réchauffe, là, torse nu sur cette branche qui pourrait céder à tout moment, le regard scrutateur, sur ce ciel si beau et pour tant qui a connu tant de nuisance…
Je soupire doucement, attendant que ce nuage passe, ce nuage qui a rendu cette petite minute d’après midi si froid… mais, ce nuage, qui me remet l’esprit en place. Moi qui étais si songeur, je n’ai pas entendu la personne approchée. Elle ne semble pas avoir remarqué ma présence… bien que ce T-shirt rouge soit très voyant, posé sur cette branche… mon arme est juste en dessous de moi. Cette personne n’est pas contaminé, son allure est normal, sa respiration très saccadé montre qu’il vient de courir. Tssst c’est toujours sur moi que ça tombe ce genre de connerie… je saute, et j’atterris sur le sol d’une manière très furtive, mais il ou elle a senti(e) ma présence…

[il me fallait bien un rp pour mon birthday ^^ mais il est très court…]

[Si sa c'est court pour toi, les miens ne te feront pas >O<'' ]


Marre, marre, marre! Cette fois-ci, j'en avais ras-le-bol! Noël était passé, les gens se faisaient des cadeaux, et dehors, il y avait moi, Loonelia. J'avais passée Noël à la rue. Mais bon, ce n'était pas comme si c'était grave. Çelà faisait 4 ans de suite déjà. Je ne comprend pas! J'en avais pris l'habitude. Mais cette année, j'avais fais des rencontres, je croyais m'avoir fais des amis. Hélas, je me suis trompée. J'ai fêtée Noël avec 2 loups, 7 oiseaux et un lapin, qui a finalement servi de repas de réveillon aux loups. C'est bien beau pouvoir communiquer avec les animaux, mais, on a aussi besoin de contact humain parfois! Surtout pendant cette période. Pour moi, Noël a toujours été une des périodes les plus tristes de l'année, après ma fête. Irez savoir pourquoi, je n'aime pas ça! Mais quand tu n'as personne à tes côtés pour te consoler, c'est pire. Je sentis une main sur mon épaule. Je me retournai, un jeune homme était derrière moi.

-Euh..Excusez-moi Mademoiselle, mais est-ce que vous savez ou je pourrais trouver le...

-ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE BORDEL!!

Et je partie à la course, sans savoir ou aller. Je courais et courais, plus je m'enfonçais dans je-ne-sais quoi, plus l'odeur était nausébonde. Je vit de loin un ruisseau. Je courus jusqu'à celui-ci. Je me plaçai devant lui. Mes yeux s'agrandirent de terreur. *Ah merde! C'est donc ça, le ruisseau de membres..* Des doigts et d'autres petits membres flottaient ci et là dans l'eau, et un léger filet de sang les suivant. Je fit une grimace. Je ne voulais plus voir, mais cet endroit paraissait ce qu'il lui fallait. Une tranquillitée immense. Vraiment, cet endroit faisait quasiment peur. Un ruisseau, des quenouilles, des membres arrachés, des grillons un peu partout qui chantent à travers les herbes hautes. D'ailleurs, elles étaient un peu mouillées. J'avais les pants de pantalon humide. Je continuais à courir dans l'ignorance. Je m'arrête un peu pour reprendre mon souffle, et soudain, j'entends un genre de "boom" derrière moi. Une étincelle passe devant mes yeux. Je me retourne brusquement. Un homme, torse nu (Ouhou XD ) est debout prêt à attaquer devant un vielle arbre gris d'un une des branches pendantes porte un chandail rouge. Le sien, sûrement. Je le regarde un instant pour voir si il réagit. Non. Quel con celui-là.

-Quoi!?

D'un léger mouvement de tête, je tasse une mèche sur le côté de mon visage.

[Tu devrais franchement te relire toi. Tu as vraiment un problème avec les temps, et surtout, utilise un correcteur d'orthographe avant de poster.]

Un regard méprisant, des paroles dédaigneuses. Ok, c’est mal parti. Vu son état, elle a passé sa journée dehors, et plus même… La main qui était autour de la crosse de mon arme se desserra. Si elle l’avait voulu, elle m’aurait déjà bondit dessus, et à l’heure qui l’est, si elle l’avait fait, elle serait sur le sol en train de pisser le sang à se rouler et à hurler. Le pire de tous, c’est qu’elle n’est pas discrète, elle a fait remuer la flotte, et tous les contaminés qui sont autour d’elle. Je soupire, retourne vers mon T-shirt, l’enfile, lui jette un regard narquois et la braque avec mon arme.

- Baisse toi, lui dis je d’une voix douce, le tout sans précipitation

Elle me regarda assez paniquée, sans doute étonnée que je la braque et que je lui demande de se baisser ainsi. Peut-être est elle bouche-bée, en tout cas elle ne se baisse pas. Raah pourquoi les gens font jamais ce qu’on leur dit? Peut importe, je tire, on verra si mes talent de tireur d’élite m’ont fait faux bond, comme toutes ces fois où j’ai cru visé juste. L’odeur acre du souffre qu’a dégagée la poudre contenu dans la douille m’enveloppe et empli mes narines quelques secondes. La fille est toujours debout devant moi, par contre, la masse sombre derrière elle gémit sur le sol. Les autres derrière les deux arbres se sont reculés. L’un d’entre eux à voulu m’attaquer, mais il a était retenu par l’un d’eux. Le tronc est trop épais pour que mes balles, même chargées à fond, passent à travers.

- Ne reste pas là, il y en a trois autres ici, et encore pleins qui vont se ramener. Je dis ça sur le même ton que tout à l’heure.

Je récupère ma SCAR H à vision sniper que j’avais caché sous un tas de feuilles mortes et desséchées. Que l’un deux oses montrer le bout de sa tête. Inconsciemment, j’ignore totalement cette fille en face de moi, et je pars en vadrouille vers la forêt, en tirant en l’air, espérant que les bestioles immorales et stupides me suivent. Elle, elle bouge…?

[J'vais essayer de faire attention >.<' Mais je sais jamais quel temps prendre ._.]

Il me comtempla un instant. Il dessera sa main de sa crosse et se retourna vers l'arbre pour y mettre son chandail rouge. Il soupira et se retourna vers moi avec un regard narquois. Je fronça un sourcil. Il braqua son arme vers moi.

-Baisse toi.

Il le dit d'une voix douce, et sans précipitation. Malgré çelà, je ne fit rien en sorte. Je resta plantée là. J'étais tout de même un peu nerveuse. Il me regarda, un peu agaçé. Il tire. Je retiens mon souffle. *Nah mais quel débile. Il est pire que moi..* Puis, j'entend un petit gémissement derrière moi.

- Ne reste pas là, il y en a trois autres ici, et encore pleins qui vont se ramener.

Je me retourne précipitement. En effet, un touché, les autres derrières les arbres. J'entendis un gros bruit de feuilles. Le garçon prenait une arme et partait direction la forêt. Il tirait dans les airs sans prendre compte aux animaux. Les contaminés le suivirent, tous sauf un. Il m'avait vu. Je ne stressa même pas. Et puis, je n'avais pas du tout envie que monsieur le meilleure fasse place, parce que je suis une fille et que je suis "trop jeune pour me défendre". Pfff.. On va voir! Le contaminé approchait.

-Allez!! J'suis vraiment pas d'humeur! Alors si j'étais toi, je ferais gaffe mon grand!

Il ignora mes paroles (à savoir même si il avait compris) et tendit ses mains vers moi.

-Tu l'auras voulu!

Mes yeux virairent aux noirs. Le contaminé eu un réflexe de recule. Puis, je pointa mon regard vers lui. Il se tortillait dans tout les senses. Comme un vers. Il criait comme si je lui enfonçait des couteaux un peu partout. Je le lâcha. Il respirait très diffcilement. Puis, je pris mon petit fusil. Petit, certe, mais, efficace pour le tout. Je paisa sur la détente. Je resta ainsi pendant 10 secondes. Je ferma les yeux et lâcha. J'entendis un cri. Je réouvris les yeux. Il était mort. Des corbeaux tournaient aux alentours.

-Servez-vous, mes enfants. Mais faites gaffe, il y en a d'autres dans les parages.

Je marchai un petit instant, puis, je vit le garçon au loin. Je courus le plus fort que je pouvais. Une fois rattrapé, je lui dis, toute essouflée:

-Tu va tuer? Je viens!

Ses paroles...C'était la première fois, que je les disaient. Jamais de toute mon existence j'y aurais cru. Comme si j'étais passée de fille qui a pitiée de tout à tueuse sans pitiée. Mais je me rassura quand je viens un écureuil sur mon épaule. Je lui souris.


[Oui oui il y a des fautes mais là je dois partir. Je corrigerai ça plus tard >.> ]

Ça y est, pas le temps de faire cinq mètres que l’autre me retombe déjà sur les basques. Qu’est-ce qu’elle me veut?

-Tu va tuer? Je viens!

Eh bien. Rien que ça. Elle ne m’a pas l’air robuste. J’ai vraiment aucune envie de la prendre avec moi. Puis avec son écureuil on croirait voir le remake du remake de Blanche-Neige. Tssst et ça se veut tueur. Si c’est sa première excursion dans ce milieu j’ai vraiment aucune envie de lui apprendre le métier. Puis t’façon ça s’apprend pas ces choses là. J’ai envie de me barrer, puis je ne comptais pas tuer de toute manière, dans ce monde on a l’impression que l’on ne vit que pour ça. Encore, je comprendrais pour quelqu’un comme moi, passer sa vie dans la marine, ne rien connaitre d’autre que ça. Mais quand je vois des gamins de seize ans qui se battent, qui en veulent, et qui en redemande, je ne comprends pas.

- Tu ne crois pas que tu es un peu jeune pour parler de tueries comme ça? Quel âge tu as? Quinze, seize ans, tout au plus. Et quoi, tu veux que je t’emmène dans la forêt avec moi? Sais-tu qui je suis?

Oui, savait elle qui j’étais… ce n’est pas étonnant qu’elle ne sache pas en réalité. Personne ne sait qui je suis. Je suis l’ombre d’une feuille morte. Personne ne prête attention à la feuille morte, encore moins à son ombre qui se traine sur le sol. Et je m’en contente très bien, de n’être qu’une ombre. Toujours est-il qu’elle ne répond pas.

- Eh bien quoi? Tu as perdu ta langue?

Je sais qu’elle brûle d’envie de me répondre. Mais je suis plus rapide.

- Je n’ai aucune envie de te prendre sous mon aile, pour quelque temps que ce soit. Je bosse en solo, ok? Allez, rentre chez toi maintenant, je suis sûr que ta mère t’attends, et qu’elle est morte d’inquiétude.

La fin de ma phrase n’est pas dure. Je suis plus ou moins sincère, et je n’ai pas envie de m’embrouiller maintenant. Pour un anniversaire, j’ai eu ma dose d’emmerde, déjà deux wrist sur le sol, et un Katar en prime. J’ai fait fort aujourd’hui… attend que je me matte un bon film ce soir, et la journée sera comblée! Enfin bref. Si je veux rentrer il faudrait déjà qu’elle s’en aille. Franchement, ce n’est pas comme ça que je voyais mes 25 ans… Haha depuis 5 mois en faites si. J’me voyais seul, enfin, avec Menshi dans mon canapé, plongé dans mes rêves, la télécommande sur la main, et la télé encore allumée. Oui, exactement comme ça. P’tain, c’est vrai que je n’ai pas une vie marrante… il faudrait que je me dégote une copine… que je sorte de ma solitude.
Elle parle, encore et encore, j’ai presque l’impression qu’elle m’a engueulé, j’ai rien écouté, et je l’interromps de manière assez brutale mais avec une voix ressemblant beaucoup à un soupir.

- Tu comptais te rendre où?

Et voilà, j’ai encore parlé sans réfléchir, ça me met dans de ses situations… Héhé, j’aime ses paroles qui sortent sans que je ne le veuille. Bon, ça montre au moins que je veux bien qu’elle ne m’accompagne jusqu’à l’endroit où elle se rend.

- Je ne comptais pas tuer. J’ai eu ma dose aujourd’hui. Et ne compte pas sur moi si tu me suis pour faire une promenade de santé, je ne viens pas tuer avec toi, je te raccompagne à l’endroit où tu veux. Si tu veux me suivre, sache que je vais dans la forêt, pour me rendre plus rapidement sur l’île flottante.

[Désolé, j‘écris comme une merde, j‘ai pondu mieux, mais j‘avais pas trop d‘inspi. Aucun style, c‘est de l‘écriture banale.]

[Sa va.Moi j'ai la lâchetée de ne pas me corriger =) ]


- Tu ne crois pas que tu es un peu jeune pour parler de tueries comme ça? Quel âge tu as? Quinze, seize ans, tout au plus. Et quoi, tu veux que je t’emmène dans la forêt avec moi? Sais-tu qui je suis?

Nah, mais pour qui il se prend? Dark Vader? Le Roi? Le p'tit Boss du coin? Ouain, bonne ipotèse!

-Eh bien quoi? Tu as perdu ta langue?

J'allais répliquer, mais il poursuivit:

- Je n’ai aucune envie de te prendre sous mon aile, pour quelque temps que ce soit. Je bosse en solo, ok? Allez, rentre chez toi maintenant, je suis sûr que ta mère t’attends, et qu’elle est morte d’inquiétude.


Ma mère...Nah, mais si il n'aurait pas été si "vieux" et expérimenté, je n'aurais pas hésiter une seconde à lui infligée mon sort. Il fallait bien qu'il serve à quelque chose.

-Uno: Je ne veux pas que tu me prenne sous ton aile! J'ai pas besoin de cours! Deuxio: Ma mère est morte..Enfin, je suposse. Et je n'ai pas de chez moi. Je vais ou je veux. J'ai beau être plus jeune, je suis capable de me battre. J'ai 19 ans! J'ai eu des années de pratique. Alors, ne serais-ce que pour toi, arrête de te croire puissant, et puis.....Hé ho là! Tu m'écoutes le gnome?

Il m'interrompis brutalement.

- Tu comptais te rendre où?

-....

- Je ne comptais pas tuer. J’ai eu ma dose aujourd’hui. Et ne compte pas sur moi si tu me suis pour faire une promenade de santé, je ne viens pas tuer avec toi, je te raccompagne à l’endroit où tu veux. Si tu veux me suivre, sache que je vais dans la forêt, pour me rendre plus rapidement sur l’île flottante.

Je réfléchis un instant.

-Elle coûte chère, les habitations, là-bas?

Ma réponse voulait bien évidemment dire que je le suivais. Je n'avais nul part ou aller, de toute manière. Puis, changer d'air me feras du bien...
Je n'attendis pas qu'il me réponde, je lui emboita le pas. Des oiseaux chantaient. J'entendais des grognements de loin(des contaminés, évidemment.), mais je les ignoraient. Si ils approchaient, monsieur n'avait qu'a s'en occupé. Histoire de causé, parce qu'il faut dire, se n'était pas très social. Déjà, il avait l'air antipathique. Je m'apprêtais à lui demander son nom, quand je vit un petit renard avec une patte qui saignait. Sa longue queu rousse était rabaissée, et il couinait. Le garçon lui, l'ignora. Moi, par contre, je vivais avec des animaux. Pas question d'en laisser tomber un seul! Je mis une main sur l'épaule du jeune homme pour l'arrêter.

-Hop là! Il boite! On ne va quand même pas le laisser là!

Je me dirigea vers le renard. Il vint vers moi, en boitant, avec une lueur d'espoir dans les yeux. Je le pris délicatement dans mes bras, prevant bien soin de mettre sa patte blessée dans ma main, tout doucement. L'écureuil descendit en trombe de mon dos et partit dans la forêt.

-Je peux l'apporter? S'il te plait! Il va mourir, ici!

Le renard et moi firent de petits yeux piteux. Bon, je n'avais jamais été bonne là-dedans, mais le renard lui...Oooh!

-On pourras le soigné, là-bas!


[C'est mieux >O<? En début, j'ai faillit décrire l'écureuil en disant: Il avait du poils et une longue queue..Mais, normalement, on s'en doutait 8D et j'aurais eu l'air cruche Oh! Je viens de me rendre compte que mon personne à 18-20 ans ._.' ]

c'est un peu juste en effet... il n'y a que 9 lignes de complète dont 5 qui sont mes paroles... essai de développer... (c'est moi qui dit ça franchement...) Kiki va nous taper dessus sinon U.U *Pan* bref, je sais pas, genre tu décris l'écureuil sur ton épaule, ou sinon, tu fais genre tu entends du bruit mais tu n'y prette pas attention, tu entends des contaminés, le coulis de l'eau, le vent qui souffle au loin... puis tu peux dire aussi que tu commence à marcher, et que le jeune homme t'accompagne, tu lui tapes la discut' genre tu lui demande quel âge il a, qu'est qu'il fait dans la vie, son nom, son prénom, etc... (j't'ai pas mal aidé là héhé) t'as assez de ligne en sois, mais je pense pas vraiment que ça passerait avec quelqu'un d'autre que moi, sur les 9, il y en a 5 qui sont de moi =/ voit ce que tu peux faire, puis si tu y arrives pas, bah... je peux pas faire grand chose XD lit un bon bouquin sur la nature! moi persoo je kiff les citations philosophiques, c'est inspirant je trouve XD. Bonne chance!

Sa te va?


(Sa fais quelques jours que j'ai répondue mais je crois que tu n'as pas vu, Alors..) =3

Elle interrompit ma marche en m’attrapant l’épaule. L’idée de lui briser le bras en milliers de morceaux me passa par la tête mais, me ressaisissant en tentant d’oublier ces idées sadiques que je m’étais juré d’oublier il y a cinq mois, je la regarde alors, tout simplement. Elle me parle d’un renard, qu’est-ce que j’en ai à faire?

- Oui, eh bien c’est un renard, qu’y a-t-il? Tu veux nous refaire un remake de « Blanche-fesse et les sept mains » ? Compte pas sur moi pour être le prince.

Elle me jette un regard pitoyable. Je déteste cette personne. Pourquoi sauver un renard irradié qui finira de toute façon par mourir? Ici, ce sont les plus chanceux qui partent en premier, mais elle n’a pas l’air de savoir. C’est encore une gamine.

- Laisse le ici. U veux nous ralentir d’avantage? Il s’en sortira bien mieux sans nous. Avec un peu de chance, ils le mangeront sans en faire un des leurs. Il mourra vite et sans souffrir. Maintenant, où tu le laisse ici terminer sa vie et tu me suis pour conserver ta vie. Où, tu le prends en ne retardant que l’échéance de quelque secondes, en nous condamnant tout les trois. Et enfin, tu peux rester seule avec lui, te condamnant ainsi à devenir un bouffeur de chair. Moi, je trace ma route. On se revoit quand je devrais te tuer.

Je lui adresse à peine un signe de la main tout en m’engageant dans un chemin invisible qui n’est pas tracé entre chênes et bouleaux tous plus irradié les uns que les autres. Je ne me retourne pas, je me fiche totalement de cette gamine. Elle mourra de toute façon, de telles attitudes ne sont pas permises dans un monde aussi pourris que celui dans lequel elle vit. Vous vivez. Je vis. Nous vivons. ILS vivent.
Je sais qu’ils savent que je cours. Ils sont sur ma pise depuis déjà plusieurs heures. Certains me scrutent déjà, avançant furtivement depuis un moment déjà, guettant le moindre moment de relâchement que je pourrais avoir. Malheureusement pour eux, j’ai reçu l’entrainement qu’il fallait pour lutter. Le relâchement existe dans mon vocabulaire, il est utilisé plus que je ne le voudrais, seulement je sais ne pas le montrer. Ce ne sont que de simples éclaireurs, ils ne remarquent rien. Certains d’entre eux pourraient remarquer le moindre détail. Dommage, pour eux, j’ai décimé la plupart qui pouvait remarquer ma forme de relâchement. Ceux là vont s’en aller, ne remarquant aucune parade ils se lasseront et iront se rabattre sur une chaire moins tendus et stressé qu’est la mienne en ce moment.

[Enfin des signes de vie *0* ]

- Oui, eh bien c’est un renard, qu’y a-t-il? Tu veux nous refaire un remake de « Blanche-fesse et les sept mains » ? Compte pas sur moi pour être le prince.

QUOI!? Quel était son problème, à lui! Il était aussi sympa qu'une roche et ne pensait qu'a lui. C'était donc ça, sa devise? Survivre pour lui-même? Quel égoïste, celui-là! Pendant 5 secondes, l'idée de lui dire: "Toi? Un prince? Ah! Je n'y comptait surtout pas! Il faudrait d'abord que tu es des sentiments!" Mais je me retins. Sa n'empirerait sûrement pas les choses, elles étaient déjà très basses, mais je n'avais pas envie de me rabaisser à son niveau.

- Laisse le ici. U veux nous ralentir d’avantage? Il s’en sortira bien mieux sans nous. Avec un peu de chance, ils le mangeront sans en faire un des leurs. Il mourra vite et sans souffrir. Maintenant, où tu le laisse ici terminer sa vie et tu me suis pour conserver ta vie. Où, tu le prends en ne retardant que l’échéance de quelque secondes, en nous condamnant tout les trois. Et enfin, tu peux rester seule avec lui, te condamnant ainsi à devenir un bouffeur de chair. Moi, je trace ma route. On se revoit quand je devrais te tuer.

Il partit en m'ignorant. *Quel solitaire entêté!* Puis, une autre pensée de traversa par la suite l'esprit, un retour de ce qu'il avait dit. * << Tu le laisse ici terminer sa vie et tu me suis pour conserver ta vie.>>, << Tu le prend..>>, << Ne retardant que l'échéance de quelques secondes..>>, <>, <>, << On se revoit quand je devrais te tuer.>>* Des larmes coulairent sur mes joues. Le garçon continuait son chemin, au loin. Je fixai le renard intensément. Son regard était implorant. Puis, je compris. Les contaminés étaient partout autour. Ils nous fixaient. Près à bondir sur lui, moi, et l'autre. Je pris le renard dans mes bras et lui donnai un bisou sur le front, je le dépossai, et je pris mon fusil dans ma poche. Le renard ferma les yeux, comme un être humain prêt à mourir. Puis je tirai. Seul le bruit des corneilles qui s'envolairent dans le ciel et la "Pan" du fusil faisaient du son. Des feuilles tombèrent dû à l'agitements des corbeaux. Le renard était mort sous mes yeux. C'était la première fois. La première fois, que j'avais osé..Puis, une étincelle passa dans ems yeux. J'avais toujours, depuis toute petite, été naïve et facile à prendre. J'avais pitié de tout. Il m'avait été difficile d'avaler mon don, petite. Aujourd'hui, était un jour nouveau. À partir de maintenant, je n'aurais pitié que quand il le faudra. Je penserai à ma survie avant tout, et, j'utiliserai mon don, pour la raison qu'il m'a été donner. Je courus rejoindre le garçon au loin.

[C'est assez de lignes? :O ]

[Oui, c‘est assez ^^ Je vois que Mathieu t‘as fais ouvrir les yeux ^^ (Enfin à ton perso =)]

On trace un trait, puis on creuse un triangle en son bout. Voilà comment on fait une flèche. Je perds mon temps, couteau en main, en traçant des flèches sans doute inutiles, elle doit déjà avoir les yeux injectés de sang et de la peau plein la bouche. Au moins elle saura où me retrouver pour que je lui ôte la vie. Je pige rien, y a pas deux minutes je voulais qu’elle me lâche histoire de pouvoir rester tranquillement à tuer du contaminé, et maintenant je lui laisse des signes pour qu’elle me retrouve mettant ainsi ma vie en péril. Je ne dois pas tourner rond. On trace un trait puis un triangle en son bout… après, on plante le couteau qui va se frayer un chemin parmi ces multiples cheveux noirs broussailleux, et qui finira par pénétré la peau pratiquant une incision grandissante, ses yeux roulent dans ses orbites, il sent la froide lame frotter contre les pores de sa peau, et s’enfoncer toujours plus profondément. Ce n’est que quand ma lame touche son crâne osseux qu’il pousse un cri. Un millième de secondes plus tard sa tête et entièrement traversé, parmi sa graisse cérébral, mon poignard remue, indifféremment aux cris que pousse le contaminé. Je le retire le plus violement possible afin de faire un maximum de dégâts. Un jet de sang me gicle à la tête, je ne suis plus très propre maintenant. J’ai rapidement fermé les yeux afin de ne pas m’infecter. Son corps s’écroule par terre, et j’ai perdu trop de temps, cinq autres m’on déjà rejoint. Je fais un tour sur moi-même pour me rendre compte de la distance à laquelle ils se tiennent. Ils ont peur, mais celui de droite n’est qu’à trois mètres. Je saute, atterris près de li en m’amortissant un maximum, genoux plié je me retrouve inférieur à lui, il n’a pas le temps de le remarquer malheureusement pour lui. Je lève mon couteau qui vient lui lié son menton contre son palet. Je le retire vite, saisis mon arme et commence à faire feu. L’un d’eux et touché et se roule par terre. Je m’approche de lui et l’achève d’un seul coup de pied. Les autres me regardent, ils savent que je suis sous tension, et que je panique presque, je peux faire une erreur à tout moment. Mais eux aussi, c doit être la raison pour laquelle ils me laissent passer sans que je n’aie rien à faire. Je recharge rapidement, parviens quand même à loger une balle dans la tête de l’un d’entre eux. Les deux derniers s’enfuient à toutes jambes dans la direction opposée à la mienne. Pas la peine de les poursuivre. Le reste de mon parcours se passe sans embûches. J’atteins enfin la lisière de la forêt, je regarde derrière moi et repère toutes les flèches que j’ai tracé depuis un quart d’heure, elle doit vraiment être aveugle pour ne pas les voire. Et pourtant, le temps passe et elle ne vient pas… tant pis. Je la retrouverais pour l’achever. Tssst je l’avais prévenu en plus. Reprenant ma route vers l’île flottante mes pensées divaguent passant d’un sujet à un autre. Ce n’est pas la première fois que je perds un équipier même si je n’ai jamais voulu d’elle.





J’entends du bruit. Ce doit être elle. Mais, dans quel état?…

Je marchais tranquillement en m'enfonçant dans la forêt. Aucune trace du garçon. Puis, soudain, je vis une flèche tracée vers une petite route qui s'enfonçait d'avantage dans la forêt. Je suivis, puis j'en vis une autre, puis une autre. Un sourire apparut sans que je le veuille. Je suivais les flèches tracées par ce mystérieux garçon, et, d'un coup, je m'arrêtai net. Une horde de contaminés se tortillaient par terre, s'ils n'étaient pas mort. Je repris mon chemin aussitôt, en me disant que c'était lui, le "coupable". Mais plus j'avançais, plus je me sentais épiée, et quand je fit un autre pas, une petite meute de trois ou quatre contaminés jaillirent des buissons. Je n'étais pas si surprise que ça, mais bon. Je sortie mon flingue, et je tirai un peu partout. N'étant pas vraiment agile au combat à mains nus, je m'arrangeais pour ne pas perdre mon fusil. Mais j'avais beau pas n'y être agile, pour éviter les coups, ça, j'étais meilleure. Un contaminé s'approcha de moi et rentra ses ongles dans mon bras, je fit un brusque geste de la main pour qu'il s'éloigne, et je le tira. Un autre avançait vers moi, suivit d'un 2e par en arrière. Il me pris par le cou, mais je me dégageai, et je perdis mon fusil. Il glissa en dessous d'un buisson à quelques mètres. Terrifiée, mais pas complètement à bout de ressources, je serrai les poings. Un contaminé courut en flèche vers moi, d'un bond, je me retrouvai couchée par terre, mais pas sous l'emprise d'un contaminé. Mes mains étaient égratiniées, mais il m'en fallait plus que ça! Le contaminé, qui avait maladroitement trébuché, se retourna et me regarda droit dans les yeux. Mes yeux vinrent noirs. Le visage en rage du monstre se transforme petit à petit en une mine apeurée. Il prit sa jambe à deux mains et commença à crier. Les autres se mirent à me regarder. Je souris, un peu plus, et je crois même que j'aurais rit. Ils sont terrifiants et redoutés, peut-être. mais bon dieu, il sont accompagnés d'un contient intellectuel tellement...nul?! Je les regardai tour à tour, ils s'effondraient tous par terre, sur le sol boueux. Comme l'effet ne durait pas une éternité, mais bien quelques minutes, je fonçai sur le buisson, pris mon fusil, et repartis suivre les flèches en courant. Quand les cadavres se firent plus nombreux, je savais que j'approchais. Plusieurs contaminés essayèrent de M,attaquer, mais ils semblaient déjà apeurés en partant, alors ils partant en courant à la seul vu de mon flingue. * Mais qu'est-ce qu'ils ont, ces tarés !?* Puis, je vis un garçon en train de marcher dans la forêt, en se penchant pour tracer des flèches. Il était là. Comme il ne semblait pas m'avoir entendu, je fis un pas, un autre, et puis stop. Il s'arrêta. Il M,avait entendu. Il prit un certain temps avant de se retourner. Quand il se retourna enfin, il était plutôt neutre. Moi, je souriais simplement. Il me rendit mon sourire. Enfin...Je crois qu'il a sourit. Il est difficile à comprendre..

- Quoi!? Tu croyais que j'étais morte, ou contaminée? Ha ha! Je suis plus robuste que tu crois!

Et d'une joie plutôt inhabituelle pour un moment pareil, je sortis mon fusil, le fis tournoyé autour de mon doigt et enjambai la marche. J'étais peut-être un brin trop sûr de moi.? Il allait parlé, mais une étrange sensation me parcourut..Je me retournai...

Yoh Loo, je peux rp de nouveau (ma flemme monstre est disparue mohaha!) mais pour cela il faudrait que tu modifie cette histoire de savane U.U je sais que ça vous fais plaisir à toi et je sais plus qui, mais on est en l'an 3000, la verdure n'existe presque plus, encore moins la savane, puis surtout nous sommes à Paris, y a jamais eu de savane à Paris que je sâche U.U l'histoire des zèbres et des lions vaut mieux l'oublier =) c'est dur, mais c'est comme ça, c'est ainsi qu'est le scrypte =)

{ Kiki : Si y'a encore de la verdure, la preuve il y a des champs de blés, mais il n'y a pas de savane, c'est tout =) }

Très bien! J'arranges tout ça et on reprend ;D

Puis-je prendre part à ce RP ? Vu que la savane à disparu (Hum effectivement, une savane ça faisait bizarre, mais bon), j'ai plus de RP.

Aucun problème ! ;D

(Enfin, moi sa me dérange pas, et toi, Benji'?)

Pas de problème =)

[merci beaucoup !]

Cela faisait longtemps que je marchais. Très longtemps. Trop longtemps. Je longeais la rivière depuis déjà deux heures. Je n'étais pas vraiment fatiguée, mais j'en avais marre de voir des morceaux de cadavres qui flottaient, des déchets toxiques, des bouts d'appareils électroniques ... Bref, de la saleté. De l'immondice. Soudain, j'entendis un bruit de lutte à quelques centaines de mètres de l'endroit où je me trouvait. Je courus. Peu être que c'était une bagarre de contaminés, mais je ne comptais pas laisser des humains se faire massacrer. Trop de sang avait déjà coulé. Je longeais les champs, et arrivait en plein carnage. Deux personnes se battaient contre des contaminés. Enfin, se faisaient submerger, plutôt, parce que ça ressemblait à du cinquante contre contre deux. Plus je m'approchais, et plus je constatais que ces deux personnages m'avaient l'air familier. Loo' (se référer au Rp "Seule ...Ou pas") et Mathieu (se référer au RP "A la dérive") ! *Merde, ils vont se faire massacrer !* Bien que Mathieu soit résistant - j'en avait eu la preuve lors de notre première rencontre- et que je ne doutait pas des capacités de Loo', c'était perdu d'avance. Malgré tout, incapable de les laisser se faire massacrer et de sauver ma peau, je m'interposai dans le combat. Alors qu'un contaminé allait mordre Loo', je lui tranchais la tête avec ma faux, puis entrait dans la bataille. Il y avait des contaminés partout. Dès que j'en tuais un, deux autres surgissaient. Je finis par être couverte de sang, et d'autres petits bouts de contaminés. Je saignais de plusieurs petites blessures et j'étais quelques peu essoufflée. A cette allure, nous allions bientôt tous y passer ...

Je m'appel Mathieu =)

A zut, je confond avec je sais plus qui ... >.<' je rectifie.

Près d'une cinquantaine de contaminés se jetèrent sur nous. Le jeune homme, dont j'ignorai encore le nom, avait beau avoir l'air robuste, on voyait qu'il avait quand même du mal avec autant de contaminés. Il n'y en avait que pour nous! Notre vie était en jeu de tout les côtés et tout les senses! PAF! Un contaminé reçoit un coup de poing entre les deux omoplates par le gars, POW! Un autre se fait flingué par moi. Tu en tue un, deux autres viennent à la charge. Nous étions totalement souillés de sang, mais on ne pouvait pas s'arrêter, pas même pour reprendre notre souffle! Malgré que je n'étais pas forte pour les coups de poing, j'enchaînais de tout les côtés pour me libérée, et je tirai. À bout de souffle, j'essayais de me concentrée sur toute mon énergie pour les torturer, question de les affaiblirent au moins un peu! Sa avait marché pour ceux qui étaient déjà sur place, se qui, il ne l'aurait certainement jamais avoué, mais je l'ai vu sur son visage, a aider le garçon. Mais ceux qui venaient en charge eux, étaient en pleine forme. Alors que j'enfonçais mon pied dans le ventre d'un contaminé, je sentis un souffle chaud dans mon cou. Peu importe se qui je faisais, il était sûrement trop tard! Il allait me mordre et s'allait en être fini pour ma vie d'humaine! Mais à la seconde suivante, j'entends un cri et en me retournant je vis, appart le sang, les contaminés ou les bouts de contaminés, je vis une jeune fille avec sa faux à deux centimètres de moi. *AI!* pensais-je avec espoir. Et elle entra dans le combat pour nous aider. Nous nous battions avec férocité, et le sang dégageait une odeur si forte que quelqu'un qui n'est pas habitué aurait dégueulé pendant des heures. Ai tranchait des membre avec sa faux, Le gars lui, c'était un as du combat. Moi, je fusillais, et je m'efforçai d'être à la hauteur, mais j'avais l'impression d'être un enfant de 10 ans sans défense au milieu de tout ça. Mais bon, pas le temps de réfléchir! Nous devions à tout pris lutter! Un contaminé me pris et me jeta par terre. J'essuyai d'un geste brusque le sang qui tombait dans mes yeux, et quand je pu voir de nouveau, il allait me mordre (ce qui ne fait pas surprise..huhu). Mais Ai arriva de nouveau à ma rescousse en le tranchant en deux. Le sang gicla sur moi. Je ne voyais pas très bien, tellement le sang embuait ma vue, mais je suivis mon instinct. Je fermai les yeux et me mit à tournée en frappant de partout. Je m'arrêtai un instant, ré ouvrit mes yeux, et ils devinrent noirs. J'avais réussi! Mais cette fois, une sensation étrange me parcourus, comme si j'allais m'évanouir. * NON! Tout, mais pas ça!* pensais-je en stressant. Mon visage terrifié envoyait des signes de détresses, mais personne ne l'aurait vu. je pris mon fusil pour repousser les contaminés, mais je me sentais petit à petit devenir légère, mais j'avais une étrange sensation d'immense chaleur me parcourant le corps. Quand j'ouvris les yeux, j'avais l'impression d'avoir des flammes dedans. Les contaminés qui m'approchaient eurent un bref geste de recule. Quand je fixai l'un d'eux, ses doigts commencèrent à prendre feu. Puis ses bras, son corps, ses jambes, sa tête. Et il tomba raide mort par terre. Le feu par contre, était loin d'être mort. Il se répandait de branches en branches, et bientôt, il allait déclarer un immense incendie de forêt. Ai se retourna vers moi en criant que j'avais un truc bizarre dans les yeux, mais je l'entendis à peine. Je n'étais pas consciente de ce qui arrivait, mais quand je regardais un autre contaminé, il semblait perplexe. J'avais bien peur d'avoir fais là une chose qui pourrait nous mettre encore plus en danger. Mais comment j,avais pu mettre feu à ce contaminé? Je n'en avais jamais été capable avant..pourtant!

[Bah Benjamin c'est mon vrai prénom, mais pour mon perso c'est Mathieu x) ]

P*t**n, dans quelle galère avais-je étais entrainé? Ils étaient trop nombreux. J’avais peut être ris assez de précautions… voilà qu’en à peine quelques secondes je me retrouve aux prises d’une famille cannibale tentant, en vain, de me bouffer. Je vide mon chargeur en à peine quelques secondes, les cadavres ne s’entasse pas, ils me collent tous beaucoup trop, et je n’ai pas le temps de viser. Ma mitraillette est trop encombrante et viens d’ailleurs de se détacher de mon cou. Je ne sais même pas si la fille est encore là, on a était séparés. Voilà maintenant près d’une minute que je me bats, et les effets de plusieurs nuits sans sommeil se font ressentir. Peu m’importe, j’essai d’assurer un maximum. Je ne suis pourtant pas au mieux de ma forme, venant à peine de me remettre de ma blessure au bras je repars me battre contre une trentaine de contaminés. Je parviens à me débarrasser de la famille, et cinq autre gus me tombe dessus, je dois être un aimant à saloperies moi. Je ne sais pas sur quoi je tape, mes coups se perdent mes font toujours mouches, ils sont si nombreux… c’est à peine si je parviens à garder un semblant d’espace vitale, il me faut trente centimètre de rayon entre eux et moi pour que je puisse manœuvrer à ma guise. Ce qui est quasiment impossible. Je parviens à en mettre KO, enfin je crois, c’est bien su un corps que je me trouve? Sans doute, je sens sa tête sous mon pied. On ne va pas pouvoir continuer comme ça les mecs! Où est cette fille? Tssst c’est pour ça que je bosse plus en équipe, faut toujours se mettre à découvert pour voir comment va l’autre. Ce doit être elle là, je reconnais le sommet de sa tête. Elle lutte contre les bestioles, elle va bien, c’est-ce qui compte. Et voilà, qu’est-ce que je disais, se mettre à découvert…

- Veux-tu bien lâcher mon coude saloperie?

Elle s’accroche.

- Non? Ben tiens, mange plutôt ça saleté.

Mon coup de poing l’a fait lâcher prise, mais dans avec sa gueule elle a emporté un petit bout ma chaire, raah, quelle grosse saleté!

- Et que je ne te revois pas surtout!

Où en étais moi sinon? Humm… Ouais, comme d’habitude, je tues, je tues, j’ai l’impression de servir à ça, je ne suis qu’une machine à tuer. M’en fiche, ça me plait bien de toute façon. Mes pertes d’équilibres sont fréquente, c’est à peine si je marche sur la terre maintenant. « KNOCK » Qu’est-ce que…

- HA BORDEL DE ME…

Ma cheville, rah punaise, c’est vraiment pas le moment… Faut que je vois ce qu’elle a! Je prends le temps de m’asseoir, allez, montre moi ça… je retire délicatement ma chaussure sans trop forcé, puis j’enlève ma chaussette.

- Alors… humm… ‘Tain, je crois que j’ai la cheville foulée… rah b*rd*l de m*rd*, tout ça à cause de toi! Tiens, prends ça, j’espère que tu te régale mon gros, c’est distribution de coup de latte gratuite aujourd’hui.

J’ai retrouvé mon agresseur, c’est ce foutu corps qui essai désespérément de se relever. Elle m’a foulé la cheville c’te saleté! Je lui piétine la tête jusqu’à ce que sa boite crânienne explose et soit réduite en compote.

- Alors quoi? T’aime plus ça? Moi je trouve ça drôle, t’en veux encore?… Non? Bah… Il se trouve qu’en faites… T’as pas vraiment le choix. Allez, tiens, mange ça aussi… Puis un petit dernier pour la route…

Un cri. Voilà ce qui me ramène à la réalité. Ce n’est pas un de ces raclements sourd et brut que dégage les contaminés, c’est cette fille de toute à l’heure. Raah bon sang, faut toujours que je fasse la nourrice. Se frayer un chemin parmi eux est assez délicat je dois dire, mais j’y parviens malgré tout. Elle n’est plus seule désormais. Il y a une fille avec elle, et à en juger par ses bracelets, c’est une Wrist. Punaise, sur les humains encore vivant aujourd’hui, il a fallu que je tombe là-dessus. J’aurais jamais crû faire ça un jour, mais pourtant c’est bel et bien ce que je m’apprête à accomplir. Je cours, et les deux poids sur mes épaules sont ceux de deux jeunes filles, dont une wrist qui se débat à tout prix. Je jurerais l’avoir déjà vu… Quelque chose me dit que celle là je ne vais pas l’aimer… après tout, c’est une wrist…
Je cours, tant bien que mal… J’aurais dû prendre l’autre pied pour lui écraser la tête à ce contaminé. J’dois avoir des ampoules en plus. J’ai perdu une chaussette là bas… heureusement que j’ai remis ma chaussure. J’crois que j’ai le bras gauche qui saigne… Ce doit être quand le contaminé m’a mordu… Je tourne à droite, et marque une pause en m’asseyant, permettant ainsi de faire descendre les locataires de mes épaules. Je ne suis pas fatigué ni endolori, mais ici au moins on pourra commencer à marcher et je suppose qu’elles veulent se reposer…

Ma tête tremblait. Je ne savais plus trop quoi faire, et je perdis connaissance. Une main m'avait pris et m'avait mis sur son dos. Enfin..Était-ce son dos? Peu importe. J'entendais un halètement très fort près de moi. Je sentais que la personne courait. Et je savais aussi que je n'étais pas seule sur les épaules du gars. Il y avait aussi Ai qui se débattait comme une malade. J'étais à demi-consciente, mais la partie consciente ne s'occupait que des petits détails. Puis, je m'endormis.
[...]

Je sentis une grosse secousse puis je me réveillai. J'étais assise par terre, sur un sol boueux. Je commençais à me réveiller. Quand je le sut parfaitement, je repris compte de la situation. Le gars nous avait sauvés, Ai et moi, et ils nous avait transporter jusqu'ici. Je vis le garçon assit sur une pierre. Il devait sûrement se reposer.. Je me levai pour aller le voir, mais une douleur m'en empêchai. Je râla un peu, et le jeune homme et Ai se tournaient vers moi. Je les regardaient un après l'autre et je dis:

- C'est rien! J'ai juste un peu mal à la cheville, c'est tout.

J'essayais de me lever à nouveau, et cette fois, je réussi. J'eus "l'agréable" surprise de voir que mon dos me faisait terriblement souffrir, car j'avais du mal pour les attaques par en arrière. Mon chandail lui, n'était pas en meilleure état. C'était comme si il était totalement diagonal. La partie diago' de droite était là, car le tissu réussissait à tenir un peu par derrière, mais l'autre était resté sur le champ de bataille. En temps normal, j'aurais été gênée, mais dans une situation pareil, c'est à peine si on remarque..Enfin, j'espère! Je me tortillai un peu pour voir mon dos et y découvrit une grande plaie qui formait une ligne mal tracée au beau milieu de mon dos. Sa me faisais dix fois plus mal que ma petite entorse à la cheville, croyez-moi! J'essuyai mes mains sur ma jupe et toussotai quelques instants. Personne ne parlait, du moins, pas moi, mais après un certain temps, je dis, en m'adressant au garçon:

-Au fait, c'est quoi ton nom?



[Il fallait bien que Loo' le sache un jour =w= ]